Faites un voeux … nous vous écoutons.
Voici le sondage: http://bit.ly/10STGK
Vous avez jusque fin septembre pour voter. Les recettes semblent être votre demande n°1.
A suivre.
Merci pour votre fidélité.
Faites un voeux … nous vous écoutons.
Voici le sondage: http://bit.ly/10STGK
Vous avez jusque fin septembre pour voter. Les recettes semblent être votre demande n°1.
A suivre.
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Coup de tonnerre dans le milieu japonais de Bruxelles: le célèbre restaurant japonais Tagawa de l’avenue Louise a fermé ses porte en juin. Il s’agit bien d’une faillite. On cite des problèmes d’ingérence, des temps durs face à tous les nouveaux concurrents … nul ne le sait précisément.
Il s’agissait d’un des plus vieux restaurants japonais de la capitale qui a su se démarquer par une cuisine raffinée, parfois à des prix trop élevés. Etabli en 1967, il a mis la clef sous le paillasson 42 ans plus tard.
Dans la tradition des restaurants japonais bien établis à Bruxelles, il nous reste le restaurant Samouraï, rue Fossé-aux-loups.
Quoiqu’il en soit, le mobilier a été saisi et est proposé à une vente gré à gré.
Voici les photos de l’inventaire complet de la faillite du RESTAURANT JAPONAIS MIYAKO-TAGAWA sa – « RESTAURANT TAGAWA »
http://bit.ly/wUs7L
[wp-cumulus]
Le blog n’était plus alimenté depuis quelques mois. Ce n’est pas faute d’idées et de contenu mais la version 2.0.5 de WordPress est devenu instable et ne permet plus l’ajout ni la modification d’articles.
Le problème est partiellement résolu par une mise à jour au forceps vers la dernière version. Tout n’est pas encore revenu en ligne. Encore un peu de patience car la mise à jour ne s’est pas bien passée. Pour ceux qui partagent les mêmes problèmes, je vous conseille le site wordpressmax.com.
Au plaisir de vous faire découvrir de nombreuses nouveautés.
Pour ceux qui ne l’ont pas encore vu, l’actualité a été mise en ligne via le twitter.
Le saviez-vous?
Itadakimasu est l’expression que l’on associe à notre expression « Bon appétit ». Itadakimasu n’a pas de traduction française. Littéralement, itadakimasu voudrait plutôt dire « merci pour ce repas ». Il s’agit d’une réponse à ce que l’on reçoit. C’est donc une expression que les convives disent au début du repas envers la nourriture qu’ils reçoivent ou envers celui qui a préparé le repas. En général, il s’adresse donc au cuisinier ou, plus abstraitement, à la nature. De sorte qu’au restaurant, il revient plutôt au client qu’à l’hôtelier de la prononcer.
Je vous invite à écouter la séquence radio de la web radio canalacademie.com sur la question avec deux témoignages d’étudiants japonais et chinois.
Vous voulez avoir sous la main un fond de base pour la cuisine japonaise … voici une liste (non exhaustive) qui vous guidera dans vos premiers achats.
Par ordre de popularité dans les recettes:
S&B, c’est le Ducros japonais. C’est une institution au Japon. Impossible de les râter. C’est aussi une garantie de qualité à l’heure où les épiceries chinoises commencent à offrir des produits similaires. Prenez du « Made in Japan » … n’achetez pas du « Made in China » comme du wasabi et du gingembre mariné (gari) douteux et infects! Donc, si vous voyez le logo S&B, vous ne faites un mauvais choix.
Vous les trouverez dans les épiceries japonaises et asiatiques comme le Tagawa Store à Bruxelles mais aussi des supermarchés.
Pour plus d’information, voir la page S&B Foods produits et épices
N’oubliez pas les dernières nouvelles via Twitter
Après le blog, voici le twitter du site cuisinejaponaise.be …
Souvent il m’arrive d’avoir une information à partager mais qui n’est pas assez consistante pour en faire un article sur le blog. Twitter permet de partager en temps réel ce type d’information saisie sur le vif dans le quotidien.
Pour suivre l’actualité de cuisinejaponaise, retenez l’adresse suivante:
http://twitter.com/cuisinejapon
PS: Le nom twitter fait réference à un oiseau qui pousse un petit cri.
Voici un restaurant japonais tenu avec goût qui mélange raffinement et cuisine traditionnelle avec une pointe de modernité.
Depuis 1988, Mr Hajime Miyamae et son chef Akira Yasuoka font vivre l’art de la cuisine japonaise dans la capitale Luxembourgeoise. Situé dans le quartier du Grund au pied de la muraille de la ville ancienne, son atmosphère soignée et détendue vous aideront à apprécier cette cuisine à sa juste valeur.
Vous y trouverez des sushis/sashimis de qualité, les traditionnels yakitori mais aussi divers bentos dont celui de la maison (29 €) et des plats orginaux. Chaque midi, vous avez le choix entre un plat du jour et diverses suggestions comme le wagyu (Boeuf japonais / « Boeuf de Kobe ») en provenance d’Australie (pour des raisons de coût).
Mais cette expérience a un coût. Les bentos et sushis sont directement autour de 30 € et les plats varient de 30€ à 40 € (Boeuf de Kobe).
Que ce soit pour un lunch d’affaire ou un repas « découverte » en soirée, le Kamakura est une adresse à visiter à Luxembourg ! Le nombre d’habitués que salue le maître des lieux témoignent de la longévité de l’établissement et de son gage de qualité.
Informations pratiques: Restaurant Kamakura 2-4, rue Münster (Gründ) |
Voici un aperçu de notre dégustation:
Umeshu (Liqueur de prunes) en apéritif avec une prune dans le verre | Zenzai – Hors d’oeuvres japonais: calamars frits, poulet et pâte de légume |
Sunomono: assortiments de plats vinaigrés et salades d’algues (Wakame, etc) | Salade de fruits de mer: thon rouge, calamar, dorade, saumon sur lit de chou chinois |
Duo de thons rouges: cru et façon tataki | Wagyu – Boeuf de Kobe (en provenance d’Australie) … un fondant inégalé |
Le Fugu est un poisson entouré de nombreuses légendes car il est connu pour provoquer de très graves intoxications à la tétrodotoxine.
On le nomme aussi poisson globe et poisson-ballon puisqu’il se gonfle d’eau en cas de danger.
Au Japon, seuls les cuisiniers disposant d’une licence accordée par l’État sont autorisés à préparer ce plat considéré comme très raffiné. Un occidental pourra le trouver un peu fade, mais la texture particulière, la rareté du mets et le folklore lié à sa préparation font de sa dégustation un évènement singulier.
Il se sert en sashimi (usu-zukuri cad coupé en tranches tellement fines qu’on peut voir la vaisselle à travers) et en nabe.
Pour en retirer la toxine, il leur faut enlever notamment le foie, les intestins et les gonades.
Voici une vidéo où un maître de la découpe vous prépare un fugu vivant en moins de 3 minutes … On apprécie la précision des gestes et la rapidité avec laquelle le poisson arrive dans l’assiette. Il ne faut pas moins de 7 années d’expérience pour arriver à un tel résultat.
Extrait du film culte Tampopo relatant les aventures d’une veuve qui reprend un restaurarant de nouilles pour s’en sortir avec son fils.
Le maître étudia les nouilles pendant plus de 40 ans. Il m’apprenait la façon correcte de les manger.
« Mange-t-on d’abord le soupe ou d’abord les nouilles ? » demande l’élève au Maître.
« D’abord, tu examines le bol dans son ensemble. Avec soin, tu observes le bol et apprécies son apparence. Savoure les arômes, apprécie les perles de graisse étincelant à la surface, la brillance des pousses de bambou, les algues qui sombrent peu à peu, les oignons flottant fièrement, et surtout, vedettes incontestables mais modestes : les trois tranches de porc rôti … D’abord, du bout des baguettes soigneusement tu en caresses la surface. Pour leur exprimer tout ton amour. Puis tu diriges tes baguettes vers le porc. On ne fait que l’effleurer, comme en compatissant … Le saisissant lentement, tu le trempes dans bouillon, à la droite du bol. Ici, le plus important est de s’excuser auprès du porc en murmurant « A tout à l’heure ! » Puis on commence par les nouilles. A cet instant, tout en aspirant les nouilles, tu fixes intensément le porc. Là aussi, un regard amoureux. »
Le maître prit une pousse de bambou et mastiqua avec application. Puis il prit une pincée de nouilles, tout en mâchant ses nouilles, il reprit une pousse de bambou. Il sirota enfin le bouillon en trois brèves lampées. Se redressant lentement, s’emparant résolument d’une tranche de porc, il la frappa délicatement sur le bord interne du bol.
« Maître, pour quoi faire ? »
« Eh bien pour l’égoutter ! »